Le Théâtre de la Choucrouterie s’est voulu laboratoire et pépinière. "Si l'on ne plante pas nos propres salades, il faudra en importer" reste la devise de son directeur Roger Siffer. De tremplins en "katapults", de créations de personnages burlesques en portraits historiques, de traditions en théâtres de recherche, de cabarets satiriques en théâtralisations musicales, de folklores en écritures dialectales contemporaines, en toutes les langues parlées ici, les artistes choucroutiens ont exploré et mis en chantier tout ce qu’il était possible de faire et même davantage.
Le Théâtre de la Choucrouterie s’est voulu laboratoire et pépinière. "Si l'on ne plante pas nos propres salades, il faudra en importer" reste la devise de son directeur Roger Siffer. De tremplins en "katapults", de créations de personnages burlesques en portraits historiques, de traditions en théâtres de recherche, de cabarets satiriques en théâtralisations musicales, de folklores en écritures dialectales contemporaines, en toutes les langues parlées ici, les artistes choucroutiens ont exploré et mis en chantier tout ce qu’il était possible de faire et même davantage.